Les tests de ce chapitre Plan du mémoire

Charnières et plafond, charnières et dalle...

1 -Du devenir des lignes d'appuis quand cela devient très raide

2 -L'intensité des forces à mettre en œuvre augmente avec l'inclinaison.

3 -L'amplitude de la charnière augmente

4 -Équilibre stable en suspension.

5 -Somme toute, c'est plus fatiguant...

6 -Quelques principes

7 -Que se passe-t-il sur une dalle moins que verticale ?                                                       Les tests de ce chapitre

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

adherence_humo.JPG (21890 octets)

Du devenir des lignes d'appuis quand cela devient très raide

Que deviennent les lignes d'appui quand on fait varier l'inclinaison du support à l'extrême ?.

Que ce soit dans le sens du dévers ou de la dalle moins que verticale.

Pour mieux comprendre ce qui se produit il va falloir pousser l'analogie avec la porte de grange un peu plus loin...                                   Sommet de page

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wpeE.jpg (23634 octets)wpeF.jpg (8939 octets)

L'intensité des forces à mettre en œuvre augmente avec l'inclinaison.

anim_jp_variation_inclinaison.gif (12830 octets)Sommet de page

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La première conséquence qui vient à l'esprit est que la difficulté à résoudre une charnière augmente avec l'inclinaison du support, il suffit de tenter l'expérience sur un mur à vérins pour en être convaincu.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

charni_anim.gif (9403 octets)

L'amplitude de la charnière augmente

Quand l'axe d'une porte est vertical celle-ci reste en équilibre, dans tous les autres cas elle s'ouvre (dévers et plafond) ou se ferme (dalle).

1022.gif (11187 octets)

Les charnières à l'ouverture ne concernent que les dévers

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double_crochet_talon_susp.JPG (11992 octets)

Équilibre stable en suspension.

Dans les gros dévers, le grimpeur progresse en "quadrumanie" c'est-à-dire qu'il utilise très souvent des prises en traction et en opposition les unes aux autres, toute ligne d'appui à tendance à s'équilibrer naturellement par effet de pendule, le centre d'une gravité du grimpeur étant toujours situé sous les appuis .

Il n'est donc pas toujours nécessaire d'équilibrer une posture et de stabiliser une charnière, les règles d'action qui permettent d'équilibration sont parfois d'un autre ordre et se résument à des stratégies d'opposition de forces, de rythme et d'anticipation rapide sur la séquence. Néanmoins si la prise suivante est décalée de la ligne d'appui, il sera nécessaire de caler un pied pour augmenter l'amplitude latérale.                                  Sommet de page

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Somme toute, c'est plus fatiguant...

Un facteur important mais malheureusement inévitable est que la somme des forces que le grimpeur applique sur le support est presque toujours supérieure au poids de celui-ci.

Ce principe s'applique d'autant plus que des oppositions de type traction/traction ou traction/appui sont utilisées. Le seul type d'opposition que l'on peut qualifier d'économique est de type appui/appui, ce qui est malheureusement très rare en plafond (il s'agit en général d'une position de moindre effort).  page suivante

Sommet de page

Exemple simple sur deux tractions:wpe4E.jpg (5879 octets)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

plafond_posture_complex.JPG (18709 octets)

Progression dans le sens de la ligne d'appuiJP-Haut.gif (2590 octets)

Progression vers une prise décalée de la ligne d'appuiJP-Bas.gif (2538 octets)

lolotte_plafond.JPG (97709 octets)

Sommet de page

Quelques principes:La première règle d'action qui émerge est d'exploiter au maximum les oppositions de type
wpeA.jpg (48853 octets) wpe10.jpg (2218 octets) appui/appui
crochet_talon.JPG (17830 octets) ou traction jambe/appui

sablier.gif (8142 octets)La seconde règle est de dynamiser et raccourcir les temps obligatoires et négatifs ou un appui est nécessaire pour aller chercher une prise.

JP-Gauche.gif (2650 octets)La troisième est de charger les pieds (moins "fatigables") au maximum, par un effort de gainage, des oppositions talon pointe, des lolottes dans les volumes, des crochets de talon.

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Que se passe-t-il sur une dalle moins que verticale ?

Tant que le grimpeur ne recule pas trop son centre de gravité (pour s'informer par exemple) les charnières à l'ouverture sont rares.                                              Sommet de page
quel_pb_enlever_pied.JPG (85184 octets) Les charnières à la fermeture ne concernent que les dalles ou les faibles dévers.

La progression s'effectue globalement par succession de transferts d'appui sur les pieds. Il est souvent difficile de libérer un pied pour le déplacer.

JP-Gauche.gif (2650 octets)Dans la photo ci contre , libérer le pied droit  de manière statique nécessitera:

- soit un tranfert d'appui préalable sur le pied gauche

- soit une traction main(s) de la gauche vers la droite.

- soit  un appui main droite par exemple

Toute autre solution est dynamique, économique, rapide mais souvent irréalisable pour des raisons de précision / rapidité sur des prises de petite dimension.  page suivante: les tests

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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